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    *Lorsque le coeur écoute cette voix émouvante et divine l'esprit se laisse emporter dans  l'univers poétique de Charles Baudelaire, un auteur romantique et si talentueux*

     Charles Baudelaire - Chant d'Automne

     

    Sur ce sentier couronné de feuilles d’or,
    J’écoute le silence lorsque le vent s’endort,
    Dans la fraîcheur des ombres planétaires,
    Reposant sous un dais d’étoiles solitaires.

    Les souvenirs d’antan renaissant à la lumière,
    Embaument les éphémères roses trémières,
    Etalant leurs pleurs givrés au jour déclinant,
    Séchant chaque larme d’amour dégoulinant.

    Un rayon de soleil éclabousse les parterres,
    Jonchés de verdure pourpre salutaire,
    Versant sur mes yeux un parfum d’ivresse,
    Nourrissant tous mes sens d’allégresse.

    Au loin les oiseaux sans voix frissonnent,
    Planent au-dessus des flots d’automne,
    Sommeillent sous l’œil de la lune paisible,
    Messagère céleste d’un destin imprévisible.

    L’esprit enroulé autour de la splendeur,
    Sillonne les chemins baignés d’odeurs,
    Brodés de merveilles épousant l’harmonie,
    Déployant ses saisons de vie à l’infini.

                            Corinne

     

     La vie palpite au cœur de la nature automnale majestueuse aux mille couleurs

    Eternel automne

     

    Le ravissement offre au regard des larmes d'extase constellées de lumière feutrée

     

    Eternel automne

     

     

     


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  • À la suite d'un drame familial, Louise reste seule avec son père à La Ferronnière, un haras en Normandie où elle vit depuis toujours. Alors que le haras est au bord de la faillite, la jeune fille tenace  décide de se battre  avec force et conviction contre le destin qui frappe sa famille en compagnie de Marquise, la jument qu’elle a élevée. L’histoire est très touchante et met en évidence un combat permanent face aux difficultés de la vie que tous essaient de surmonter. Un film émouvant plein de sensibilité qui m’a fait passer un agréable moment derrière le grand écran.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     Ma bonne étoile

     Un film de Anne Fassio avec Christophe Lambert, Claude Brasseur.

     

     

    M arquise dévoile son gracieux minois un beau matin,
    A vant  que l’absence maternelle sur le chemin diamantin,
    B rasille en dépit du trépas dans le cœur de son étoile,
    O ndulant  au creux des heures fragiles que parfois la vie dévoile,
    N ous invitant à suivre les émois  d’une famille en Normandie,
    N ourrissant d’amour indéfectible une jument dégourdie,
    E ntraînée dans la course folle d’épreuves de qualifications,

    É reintantes pour un poitrail attelé destiné à la compétition,
    T rouvant le répit en la présence humaine habitée de tendresse,
    O ffrant à la jument  blessée la force quand son corps se redresse,
    I mbibé de sueur brûlante perlant sur son chanfrein à volonté,
    L uisant de bonheur dans ce haras douillet respirant l’aménité,
    E nveloppé par l’esprit de Louise lui vouant une infinie fidélité.

    Ma bonne étoile *acrostiche*

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


    La naissance offre un grand spectacle à la quiétude du jour,
    En accueillant l’étoile dans un bain de tristesse empli d’amour,
    Au milieu d’un lit de paille moelleux comblant l’absence soudaine,
    De félicité parsemée d’un bouquet d’espoir nimbant l’âme sereine.


    Ma bonne étoile *acrostiche*

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     Etendue près de Louise que sa présence illumine,
    Marquise caresse du regard l’immensité divine,
    Les jambes enfouies dans une mer de sable,
    Distillant tendrement ses effluves insaisissables.


    Ma bonne étoile *acrostiche*

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    *J'entends mes rêveries respirer au milieu de cette mer d'une transparence fragile*

     

     

    ♥Frédéric DELARUE- Marie De La Mer♥

    Musique relaxante

     

      

     Penchés sur l’immensité aux remous azurés,
    Où souffle le vent troublant des grandes marées,
    Mes yeux éblouis se délectent en admirant,
    A l’infini les flots séducteurs d’un bleu enivrant.
     
    Les chants marins irriguant la pénombre,
    Réveillent du fond de l’océan les ombres,
    Pour commémorer les souvenirs éternels,
    Des âmes endormies dans ce lieu solennel.
     
    Bercée par la mélodie des vagues sauvages,
    Fleurissant d’écume blanche les doux rivages,
    Je rêve lorsque l’inouï au creux de l’instant,
    M’offre la magie d’un spectacle envoûtant.
     
    Au large un vieux pêcheur au visage apaisé,
    Se laisse par une sirène tendrement courtiser,
    Le cœur jubilant de joie frémissante révélée,
    Sous un ciel d’amour sans cesse renouvelé.

    Un goéland argenté survolant l’étendue salé,
    Guette les poissons menant une danse auréolée,
    Les ailes déployées vers l’horizon lumineux,
    D’intensité sereine aux contours molletonneux.

    Les algues mouvantes imbibées de noblesse,
    Sous mon regard ressourcé pétillant d’allégresse,
    Dérivent dans la chair des profondeurs limpides,
    Au rythme de vie du puissant courant intrépide.

    Je remplis lentement mes poumons d’un bol d’air,
    En humant les embruns iodés du golfe clair,
    Où le clapotis de l’eau caressant les galets,
    Inonde de bonheur mon esprit ensorcelé.

    Une brise câline au parfum riche de liberté,
    Traverse mon silence d’un frisson de volupté,
    Faisant vibrer mes sens émus par le ressenti,
    Qui se goûte dans cet Eden où je suis blottie.

                              Corinne

     

    *La mer se marie avec le sable fin et le bleu du ciel*

    Plage de Lomener - Morbihan-

    Evasion marine

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    *La beauté de l'instant délivre un message de sérénité*

     

    Evasion marine

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le regard apaisé plongé au milieu de l'étendue infinie,
    S’enveloppe d’une douceur enfiévrée de silence béni,
    Laissant chaque songe d’amour fleurir le fond des yeux,
    Avant que le corps s’assoupisse dans ce berceau merveilleux.

     


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