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Au jardin de lumière
La lumière posée sur ton corps
Déploie d'harmonieux accords
Résonnant d'amour en chemin
jusqu'à l'étreinte de tes mains
Tel un soleil levant impatient
D'éclore dans le jour naissant
Une lueur scintille d'espoir
Dans ton ciel rempli de noir,
Tes rêves aux vertiges de liberté
Inondent soudain la voie lactée
De douce nitescence vagabonde
Sonnant aux oreilles du monde
Dans les bras d'un futur torride
En quête de quiétude lucide
Le temps s'attarde sur la terre
Immergée sous les pleurs amers.
Corinne
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Commentaires
Bonjour Corinne... avec ce qui se passe ça et là en ce moment, barbarie meurtrière, le jour se lève noir pour les familles, la peur de tomber entre leurs mains, alors que la vie ne demande qu'à se vivre belle, nous en avons qu'une... merci à toi, bises
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Mercredi 15 Juin 2016 à 12:45
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La lumière du matin qui se pose sur un corps au repos, est aussi agréable que la douceur d’une main. Ton poème Corinne commence avec beaucoup de fraîcheur et apporte sa lumière sur "les pleurs de la terre". C'est le paradoxe de l'heure froide qui apporte sa chaleur. Très belle ensemble, j'aime beaucoup.
Bonne journée à toi Corinne "Tes accords sont plus qu'harmonieux" Bisous
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Mercredi 15 Juin 2016 à 12:49
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bonjour
Déjà la vie ardente incline vers le soir,
Respire ta jeunesse,
Le temps est court qui va de la vigne au pressoir,
De l'aube au jour qui baisse,
Garde ton âme ouverte aux parfums d'alentour,
Aux mouvements de l'onde,
Aime l'effort, l'espoir, l'orgueil, aime l'amour,
C'est la chose profonde ;
Combien s'en sont allés de tous les cœurs vivants
Au séjour solitaire
Sans avoir bu le miel ni respiré le vent
Des matins de la terre,
Combien s'en sont allés qui ce soir sont pareils
Aux racines des ronces,
Et qui n'ont pas goûté la vie où le soleil
Se déploie et s'enfonce.
Ils n'ont pas répandu les essences et l'or
Dont leurs mains étaient pleines,
Les voici maintenant dans cette ombre où l'on dort
Sans rêve et sans haleine ;
— Toi, vis, sois innombrable à force de désirs
De frissons et d'extase,
Penche sur les chemins où l'homme doit servir
Ton âme comme un vase,
Mêlé aux jeux des jours, presse contre ton sein
La vie âpre et farouche ;
Que la joie et l'amour chantent comme un essaim
D'abeilles sur ta bouche.
Et puis regarde fuir, sans regret ni tourment
Les rives infidèles,
Ayant donné ton cœur et ton consentement
À la nuit éternelle.
grooos bisous-
Vendredi 17 Juin 2016 à 12:36
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Bonjour Corinne.
Jolies photos et beau texte.
C'est vrai qu'être seul n'est pas quelque chose de gai, surtout si il a eu une vie en commun avant.
Je te souhaite une très belle journée, bises.
Claude
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Lundi 20 Juin 2016 à 07:03
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Bonsoir Corinne
Sans la lumière tout serait fade et sans saveur, on l'aime pour ce qu'elle dégage... J'adore tes mots.
Il pleut chez nous comme d'habitude pourtant c'est le premier jour de l'été.
passe une belle soirée
Ps : de mon côté, j'ai eu des bonnes nouvelles de ma fille mais je reste prudente.
bisous
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Mardi 21 Juin 2016 à 13:07
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Bonjour ma douce Corinne
Tes poésies sont vraiment sublime, que de tristesse souvent c'est vrai que sans amour nous ne sommes rien, l'amour, la tendresse, l'affection toutes ce belles choses qui nous manque tant en se moment dans ce monde de brute, que de tristesse dans les cœurs de ceux qui ont perdu un être cher.
aujourd'hui un peu de soleil et un ciel bien bleu nous fait revivre il nous manque tant ce soleil cette année.
je dépose de doux bisous d'amitié et te souhaite une merveilleuse journée
Marlène
Bonjour Corinne
Un petit coucou en ce début de semaine pour te souhaite une belle journée
j'espère que ton weekend c'est bien passé et que tu as pu te reposer peut-être
es-tu en vacances, le soleil brille ce matin je t'envoie un rayon de celui ci pour égailler
ta journée si tu n'en à pas doux début de semaine et doux bisous amitié
Marlène
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Superbes photos et jolis mots bien agréables à lire.
Bon mercredi, toujours venteux et pluvieux ...
Et une actualité qui va avec.
Bisoux, corinne
dom
Merci dom, bisous et douce journée.