• Rien de tel que les vacances pour se ressourcer et se reposer. Je vous remercie de votre amitié qui m'est précieuse et vous dis à très bientôt.

     Au jardin d'une fée

     

     

    Petite fée enchantée aux pouvoirs magiques,

    Inonde mon sommeil de rêves fantastiques,

    Telle une déesse du destin planant sur mes nuits,

    Défiant l’esprit cartésien en le libérant d’autrui.

     

    Majestueuse créature que seul l’amour pénètre,

    Embrase mes émois d’une source de bien-être,

    En dansant un ballet-pantomime et gracieux,

    Sous un voile léger parsemé d’étoiles des cieux.

     

    Elle a tant à m’offrir cette jolie reine légendaire,

    Un peu de douceur pour bercer mon imaginaire,

    Un château de folies douces émanant du passé,

    Quelques songes embaumés de tendresse enlacée.

     

    Son ombre vagabonde se dissipe au lever du soleil,

    Emportant mes vœux secrets susurrés à son oreille,

    Des mots sages d’une âme d’enfant remplie d’espoir,

    Pour lesquels mon cœur bat et se nourrit chaque soir.

     

                                   Corinne

     

    Au pays des fées le merveilleux nous rend silencieux,

    Dépose dans nos rêves une kyrielle de rêves délicieux,

    Eveillant nos profondes solitudes de nos songes nocturnes,

    A la douceur d'une regard céleste sous l'astre taciturne.

     

    Au jardin d'une fée

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

      

     

    Un monde magique qui me transporte vers un royaume dont j'en ferai mon berceau*

    Au jardin d'une fée

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Je m'envole vers l'entre-monde cabalistiaue sous un dais d'azur,

    Le coeur apaisé par les fleurs, les papillons entourant la divine créature...

    Présence éthérée d'une fée nimbée de roses portant l'amour en sa fragrance,

    Où fleurit la grâce sibylline autour de l'inépuisable attirance.

    Au jardin d'une fée

    Au jardin d'une fée

     


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  •  Si vous entendez mes mots c'est que vous les comprenez.... Corinne

     

     

    Les mots consolent l'esprit d'une trame remuant le passé,

    Cherchant l'apaisement en recouvrant le néant glacé,

    D'une farandole de couleurs valsant sous l'azur du ciel,

    Avec au coeur la certitude de changer le goût du fiel.

     

    L'oraison funèbre coule sur le papier à la nuit tombée,

    Nourrissant les âmes d'amour pur de lumière imbibée,

    Submergeant le chant des étoiles d'éclats diamantés,

    D'une beauté cristalline reliée au destin de l'humanité.

     

    L'encre dessine les aveux muets d'une plume inspirée,

    Dévoilant au monde la quintessence d'un rêve éthéré,

    Portant la voix de l'imagination au sommet de l'émotion,

    Attisée par les paupières closes brillantes d'admiration.

     

    Les mots retiennent l'espoir en refermant soudain la page,

    Des souvenirs aux rivages flous que la mémoire dévisage,

    En gravant la passion sur un chemin béni d'éternité,

    Ecrite par une main sereine gratifiant l'instant d'intensité.

     

    S'enivrant d'une rose fanée courbée par l'ultime caresse,

    Les mots déposent sur la feuille vierge un souffle de tendresse,

    En renaissant au silence révélé par le désir d'un être rêveur,

    Libérant de sa mémoire en abîme une kyrielle de saveurs.

     

    Les mots avoués rassemblent l'essentiel semé par la pensée,

    Libérant l'essence sombre d'une douleur fulgurante annoncée,

    Au moment venu par les vers du poète épanoui s'arrimant,

    Au bleu de la vie apaisant le courroux impétueux s'allumant.

     

                                       Corinne

     


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  • RICHARD ANTHONY *ECOUTE DANS LE VENT*

     

     

    Le vent d’Aquilon glane les secrets des saisons s’égrenant,
    En prônant sur les sentiers d’effrois de son souffle déracinant,
    Les chênes frissonnants cloués au froid de l’hiver célibataire,
    Ne pouvant réchauffer le coeur engourdi de l’oiseau solitaire.

    Le vent indomptable emporte les vastes songes brillants,
    Des enfants bercés la nuit par les murmures ondoyant,
    Vers l’infinie lumière surgissant des confins d’un au-delà,
    Distillant ses rayons au fond du rêve rutilant de son éclat.

    Le vent fougueux soulève les flots mélodieux attrayants,
    Etreignant le corps ailé des goélands argentés tournoyant,
    Au-dessus du tumulte harmonieux d’une mer d’écume,
    Sous un voile de larmes inaudibles aux sentes d’amertume.

    Le vent chuchote à la nature ses ardeurs indéfectibles,
    Avant de s’assoupir dans les yeux de la lune irrésistible,
    Pour offrir à ce monde la douce quiétude retrouvée,
    Couronnant l’instant ensoleillé d’espérance ravivée.

    Le vent d’amour puise sa force à la source d’un baiser,
    Gonflé de désirs troublants dont la flamme tamisée,
    Libère l’ivresse en chemin sous une rafale de caresses,
    Au flux soyeux d’une bouche frémissante d’allégresse.

    Le vent s’engouffre par une fenêtre ouverte sur la vie,
    Emportant tes craintes ombrageuses confiées au parvis,
    Escortant sur un air victorieux chaque voeu prononcé,
    Que le silence faisait taire au centre de tes pensées.

                                           Corinne

     

    Goélands argentés dansant au dessus de la mer

     

    Les voix du vent

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Au coeur des rêves d'une fillette sous le regard bienveillant d'un ange

     

    Les voix du vent

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le mystère des songes laisse toute la place à l'imaginaire

     

    Les voix du vent

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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  •  

     Michel Pépé - Fleur d'Amour

     

     

    Ses yeux clairs épanchés sur sa bouche enflammée,
    Rallument le flambeau d'antan de son âme embrumée,
    S’obstinant à cueillir le souffle brûlant de ses baisers,
    Portant l’écho retentissant de leurs désirs attisés.

    Ses brumes s’étiolent en écoutant sa ritournelle,
    S’élever des profondeurs secrètes de ses prunelles,
    Créant le sublime sous la musique du cœur se pâmant,
    En son sourire rendant ses naufrages plus cléments.

    Butinant son bonheur fécond les nuits d’insomnies,
    Sur l’autel du plaisir intense dans le miroir de l’infini,
    Sa flamme sibylline se fait rouge carmin pour sa fée,
    Inondant de chaleur éthérée sa chevelure décoiffée.

    S’attardant sur les courbes de l’intime présence,
    Procurant le frisson aux sentes de concupiscence,
    Son esprit dans ce torrent fougueux jouit de clarté,
    En tâtonnant du bout des doigts sa douce beauté.

    Admirant sa rose s’épanouir autour de son aura,
    Chaque pétale enivré de candeur stimule son odorat,
    Le corps ondoyant sur ce chemin arrosé de silence,
    Chancelle un instant puis tendrement s’élance.

    Déguster en osmose les effluves suaves palpitant,
    Dans l’air du vent tissant un cercle d’amour ardent,
    Sous l’étreinte effervescente de leurs mains enlacées,
    Le ciel orné s’habille d’un bouquet de fiables pensées.

                                   Corinne

     

    Tout auprès de son coeur

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    L’amour émerge à la source de notre essence intérieure s’élevant au-dessus du temps,
    De son étendue infinie pour atteindre les sommets éclaboussés d’instants haletants,
    Ourlant d’amertume l’inconscient combatif assiégé par les ombres grandissantes du passé,
    Revêtant l’esprit dénoué d’ardeurs fortuites perlées de pluie à la clarté entrelacée.

     

    Tout auprès de son coeur

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    L’âme évanescente d’une jeune fée angélique choyée par des roses,
    Sourit au ciel de soie en déployant ses ailes luisantes à la nature éclose,
    Parmi les saisons entre ardeur et pénombre de son amour bienveillant,
    Dont la douceur nous lie à la présence onirique d’un cœur convoyant.

     

    Tout auprès de son coeur

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Dans son regard attendrissant que le mystère redouble l'émoi s'éternise...


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    *Lorsque le coeur écoute cette voix émouvante et divine l'esprit se laisse emporter dans  l'univers poétique de Charles Baudelaire, un auteur romantique et si talentueux*

     Charles Baudelaire - Chant d'Automne

     

    Sur ce sentier couronné de feuilles d’or,
    J’écoute le silence lorsque le vent s’endort,
    Dans la fraîcheur des ombres planétaires,
    Reposant sous un dais d’étoiles solitaires.

    Les souvenirs d’antan renaissant à la lumière,
    Embaument les éphémères roses trémières,
    Etalant leurs pleurs givrés au jour déclinant,
    Séchant chaque larme d’amour dégoulinant.

    Un rayon de soleil éclabousse les parterres,
    Jonchés de verdure pourpre salutaire,
    Versant sur mes yeux un parfum d’ivresse,
    Nourrissant tous mes sens d’allégresse.

    Au loin les oiseaux sans voix frissonnent,
    Planent au-dessus des flots d’automne,
    Sommeillent sous l’œil de la lune paisible,
    Messagère céleste d’un destin imprévisible.

    L’esprit enroulé autour de la splendeur,
    Sillonne les chemins baignés d’odeurs,
    Brodés de merveilles épousant l’harmonie,
    Déployant ses saisons de vie à l’infini.

                            Corinne

     

     La vie palpite au cœur de la nature automnale majestueuse aux mille couleurs

    Eternel automne

     

    Le ravissement offre au regard des larmes d'extase constellées de lumière feutrée

     

    Eternel automne

     

     

     


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