À la suite d'un drame familial, Louise reste seule avec son père à La Ferronnière, un haras en Normandie où elle vit depuis toujours. Alors que le haras est au bord de la faillite, la jeune fille tenace  décide de se battre  avec force et conviction contre le destin qui frappe sa famille en compagnie de Marquise, la jument qu’elle a élevée. L’histoire est très touchante et met en évidence un combat permanent face aux difficultés de la vie que tous essaient de surmonter. Un film émouvant plein de sensibilité qui m’a fait passer un agréable moment derrière le grand écran.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Ma bonne étoile

 Un film de Anne Fassio avec Christophe Lambert, Claude Brasseur.

 

 

M arquise dévoile son gracieux minois un beau matin,
A vant  que l’absence maternelle sur le chemin diamantin,
B rasille en dépit du trépas dans le cœur de son étoile,
O ndulant  au creux des heures fragiles que parfois la vie dévoile,
N ous invitant à suivre les émois  d’une famille en Normandie,
N ourrissant d’amour indéfectible une jument dégourdie,
E ntraînée dans la course folle d’épreuves de qualifications,
É reintantes pour un poitrail attelé destiné à la compétition,
T rouvant le répit en la présence humaine habitée de tendresse,
O ffrant à la jument  blessée la force quand son corps se redresse,
I mbibé de sueur brûlante perlant sur son chanfrein à volonté,
L uisant de bonheur dans ce haras douillet respirant l’aménité,
E nveloppé par l’esprit de Louise lui vouant une infinie fidélité.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La naissance offre un grand spectacle à la quiétude du jour,
En accueillant l’étoile dans un bain de tristesse empli d’amour,
Au milieu d’un lit de paille moelleux comblant l’absence soudaine,
De félicité parsemée d’un bouquet d’espoir nimbant l’âme sereine.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Etendue près de Louise que sa présence illumine,
Marquise caresse du regard l’immensité divine,
Les jambes enfouies dans une mer de sable,
Distillant tendrement ses effluves insaisissables.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

*J'entends mes rêveries respirer au milieu de cette mer d'une transparence fragile*

 

 

♥Frédéric DELARUE- Marie De La Mer♥

Musique relaxante

 

  

 Penchés sur l’immensité aux remous azurés,
Où souffle le vent troublant des grandes marées,
Mes yeux éblouis se délectent en admirant,
A l’infini les flots séducteurs d’un bleu enivrant.
 
Les chants marins irriguant la pénombre,
Réveillent du fond de l’océan les ombres,
Pour commémorer les souvenirs éternels,
Des âmes endormies dans ce lieu solennel.
 
Bercée par la mélodie des vagues sauvages,
Fleurissant d’écume blanche les doux rivages,
Je rêve lorsque l’inouï au creux de l’instant,
M’offre la magie d’un spectacle envoûtant.
 
Au large un vieux pêcheur au visage apaisé,
Se laisse par une sirène tendrement courtiser,
Le cœur jubilant de joie frémissante révélée,
Sous un ciel d’amour sans cesse renouvelé.

Un goéland argenté survolant l’étendue salé,
Guette les poissons menant une danse auréolée,
Les ailes déployées vers l’horizon lumineux,
D’intensité sereine aux contours molletonneux.

Les algues mouvantes imbibées de noblesse,
Sous mon regard ressourcé pétillant d’allégresse,
Dérivent dans la chair des profondeurs limpides,
Au rythme de vie du puissant courant intrépide.

Je remplis lentement mes poumons d’un bol d’air,
En humant les embruns iodés du golfe clair,
Où le clapotis de l’eau caressant les galets,
Inonde de bonheur mon esprit ensorcelé.

Une brise câline au parfum riche de liberté,
Traverse mon silence d’un frisson de volupté,
Faisant vibrer mes sens émus par le ressenti,
Qui se goûte dans cet Eden où je suis blottie.

                          Corinne

 

*La mer se marie avec le sable fin et le bleu du ciel*

Plage de Lomener - Morbihan-

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

*La beauté de l'instant délivre un message de sérénité*

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le regard apaisé plongé au milieu de l'étendue infinie,
S’enveloppe d’une douceur enfiévrée de silence béni,
Laissant chaque songe d’amour fleurir le fond des yeux,
Avant que le corps s’assoupisse dans ce berceau merveilleux.

 

*La Rose Magnifique - Elixir d'Amour - Michel Pépé *

 

 

Sous un soleil jovial une rose harmonise les chemins,
En agitant sa robe soyeuse aux nuances rouge carmin,
Ornée de suaves pétales veloutés exhalant ses senteurs,
Au souffle du vent muet récoltant l’élixir enchanteur.

Etalant sa beauté frêle au papillon lui offrant un baiser,
Son cœur dans cet instant de volupté se laisse apprivoiser,
En s’abandonnant à l’amour infini sous les ailes légères,
D’un compagnon solitaire brûlant de passion passagère.

Rayonnant de lumière son corps radieux rougit de pudeur,
Se cambre gracieusement en déployant sa splendeur,
Aux perles de l’aurore crépitant comme des étincelles,
Gorgées de tendresse dont le charme vous ensorcelle.

D’une élégance féminine sa corolle froufroutante,
Offrant au phalène blanc ses fragrances envoûtantes,
L’accueille dans son antre d’une douceur moelleuse,
Avant de s’assoupir sous la lune d’étoiles enjôleuses.

                                  Corinne

                                                                                                       

 

La rose de l'amitié voyage de mains en mains,
Afin de former la ronde des coeurs sur demain...

 

 

Cette fleur emblématique ravit mon coeur,
En déployant aux confins du désir son ardeur...

                                                                                      

De sa douceur matinale veloutée,
Sous un ciel bleu intense de clarté,
L’amour versé en offrande à l’infini,
Coule de son cœur convoité en catimini.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Subjugué par la beauté de son corps s’animant,
Sous une escadrille de papillons en mouvement,
Formant un ballet effervescent décoiffant sa corolle,
L’irrépressible désir d’un cœur palpitant s’affole.

 

 

 

Il y a des jours

Saignent les pensées amères d’un destin fragile,
Aux confins de la décadence des promesses agiles,
Obombrées par mes maux de glace s’étirant au loin,
Déversant leurs chagrins à la lune pour seul témoin.

Il y a des jours,

Coulent les larmes de mes yeux dans le gris du ciel,
Fleurissant ma tourmente suintante imbibée de fiel,
Née d’une étreinte perdue creusant l’once de douleur,
Soumise à la dérive mélancolique dénuée de chaleur.

Il y a des jours,

S’installe le trouble dans la solitude de mon cœur,
Acceptant les vicissitudes aux multiples saveurs,
Dont l’unique instant déchirant surgit du silence,
Imposant à mes états d’âmes une vive souffrance.

Il y a des jours,

Grandit le vide  sur les ailes froissées du temps,
Traçant en chemin le poids d’un espoir hésitant,
Imprégnant la mémoire de sentiments inachevés,
Voués à l’errance au fond de ma pupille éprouvée.

                         Corinne

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Seule une larme de pureté coule sur un visage,
Sensible aux remous intérieurs de chaque paysage,
Où l’instant de silence trace ce nouveau chemin,
Emplissant ton cœur vide d’infinis lendemains.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

En déroulant ma toile de mots sur cette page,
Les rais de lumière de l’aube nouvelle se propagent,
Au creux de ma pupille emplie d’ancrages positifs,
Nourrissant mon ciel bleu d’espoir communicatif.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Lorsque mon cœur se pourfend par tant de douleur,
Gardant en mémoire l’attraction d’un amour éteint,
Mes songes fourmillent sur les chemins de fleurs,
Embaumant d’effluves doux mes matins incertains.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Une fée céleste s’élevant vers l’indigo de l’horizon,
Sème dans mon ciel brumeux des étoiles à foison,
Emplissant mes brouillards de lumière cosmique,
Revêtant l'instant magique d’une poudre alchimique.

                                        Corinne

 

 

 

 

 

 

Toi qui sais,

Que dans un regard tu peux percevoir,
La tristesse, la joie et l’espoir,
Apprends-nous à regarder avec le cœur,
Le dernier souvenir d’amour avec bonheur,
A savourer chaque instant de notre vie,
En affrontant la noirceur des jours gris.

Toi qui sais,

Apprends-nous à explorer l’invisible,
En perçant les secrets de l’indicible,
La beauté de l’essentiel que l’on ne voit pas,
Le chant de l’oiseau qui résonne dans les bois,
Les fleurs secrètes qui embellissent le monde,
D’une bouffée de senteurs qui nous inonde.

Toi qui sais,

Que pour ressentir cette immensité,
Il ne faut jamais rien délaisser,
En apprivoisant les couleurs de nos émotions,
Qui nous font vivre une réelle communion,
Apprends-nous à transmettre la lumière,
En rallumant les étoiles de l’univers.

Toi qui sais,

Que le sourire d'un enfant éclaire l'horizon,
En déposant un bouquet de soleil sur notre front,
Il sème une myriade d’étincelles dans nos pupilles,
Nourrissant de clarté rassurante nos larmes fragiles,
Toi qui es riche de sensibilité et de vérité,
Je perçois ton immense présence les yeux fermés.

                                      Corinne

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il suffit de plonger mon regard dans tes yeux,
Pour apercevoir la lumière au fond de ton cœur,
Eclairer l’obscurité des longs couloirs périlleux,
Où la beauté vertigineuse respire en profondeur.